Cette time station n'est pas sponsorisée. C'est pas ça qui va nous arrêter !
Désormais, c'est le désert. La route est droite, la végétation rare. Les équipes de la RAAM se suivent encore de près. Les bas-côté sont sableux. Déjà un van d'assistance ensablé sur le bas-côté. Le rythme n'est pas encore trouvé. Christian s'arrête pour demander à boire au van, puis file quand nous somme là pour le ravitailler, lui et le van.
Après un carrefour, on arrive sur une route extrêmement fréquentée par les camions américains, ces énormes machines qui foncent dans la nuit tombée. Proches de la frontière mexicaine, nous nous attendons à un contrôle volant à tout instant. Le QG (HQ) de la RAAM annonce des bancs de sable sur la route, pénibles pour les cyclistes. Mais nous retrouvons aussi des villages dans le désert, stations service et autres parkings plus accessibles que le sable du désert.
Nous avons remonté depuis l'altitude de 180 pieds sous le niveau de la mer, à laquelle nous sommes passés.
En scrutant l'ouest dans l'attente de Christian, le coucher de soleil était très beau.
L'arrêt a enfin permis un repas pour Christian, des fruits frais pour ses suiveurs et des pipis pour tout le monde. Encore des trucs à caler, mais tout va toujours mieux. Passage à 22h45 à la TS02.