Au bar du Congrès International des Mathématiciens.
- Le premier mathématicien demande une pinte de bière.
- Le deuxième demande un demi.
- Le troisième demande un galopin.
- Le quatrième un demi galopin.
- Le cinquième un quart de galopin.
Le barman s'impatiente alors : "Bon, je vous sers deux pintes et vous vous débrouillez entre vous, hein !"
Pour info : les contenants de bière et la valeur limite d'une série géométrique utile ici.
Les fonctions mathématiques ont décidé d'organiser une grande fête. Tout se déroule pour le mieux. Les sinus dansent avec les cosinus, les paraboles sont en grande conversation avec les logarithmes, les fonctions continues non dérivables font un sort au buffet... Bref, tout monde s'amuse.
Sauf l'exponentielle, qui reste seule dans sont coin.
Au bout d'un moment, les autres s'en rendent compte et viennent lui demander ce qui lui arrive.
- Oh, moi, de toute façon, que je m'intègre ou pas, c'est la même chose.
Pour info, l'exponentielle, sa dérivée, ses intégrales.
Il paraît que cette anecdote est vraie. Malheureusement, je ne me souviens plus ni où je l'ai lue, ni qui était le mathématicien de l'histoire...
Ce mathématicien a malheureusement perdu sa première femme rapidement. L'enterrement eut lieu en été, et pourtant il pleuvait. Il s'est remarié quelque temps plus tard et a à nouveau perdu sa femme. Encore une fois, l'enterrement eut lieu aux beaux jours et pourtant la pluie était au rendez-vous.
Cet homme ne se découragea pas et se remaria. Il perdit sa femme quelque temps plus tard, au mois d'août. Ses amis mathématiciens et logiciens assistaient une fois de plus à l'enterrement. Ils s'aperçurent à leur grande surprise qu'ils avaient tous amené un parapluie, malgré le temps radieux. L'un d'eux s'en étonna :
- Nous qui faisons de la logique notre métier, nous avons cédé à une superstition.
Un autre répondit :
- Non, notre comportement a été logique puisque jusqi'à aujourd'hui, à chaque fois qu'Untel enterrait sa femme, il pleuvait !
Cette anecdote par contre est inventée, à mon avis.
Il s'agit d'un homme qui vient de recevoir un prix pour ses nombreux travaux en physique. Un homme de raisonnement et de logique, donc. Les journalistes sont nombreux à l'interviewer à la suite de cet évènement. L'un d'eux se rend dans le châlet du physicien, en montagne. Il constate avec étonnement que celui-ci a fixé un fer à cheval à l'entrée de son châlet. L'entretien se déroule et le journaliste finit par poser une question qui lui brûle les lèvres :
- Vous savez, j'ai été très étonné de voir ce fer à cheval sur votre porte. Vous êtes donc supersticieux ?
Et le physicien de répondre :
- Vous savez, il paraît que ça marche même quand on n'y croit pas.
Imaginez que vous êtes peintre au pays des mathématiques. Vous voulez peindre une hyperboloïde de révolution.
C'est problématique. De combien de pots de peinture avez-vous besoin ? La surface de l'hyperboloïde est l'intégrale de 2 fois pi sur x, entre N et l'infini. C'est une surface infinie. Je ne vous dis pas le nombre de pots nécessaires, sans compter le temps.
Heureusement, il y a une solution. Le volume de l'hyperboloïde est fini, lui. Il vaut l'intégrale de pi sur x au carré entre N et l'infini.
Il suffit donc de remplir l'hyperboloïde de peinture, puis de le retourner pour vider la peinture en trop.