Juin devant

201406

Bon, un petit point sur le mois qui se profile, où je vais faire... tout sauf de la course à pied. Un peu de famille, un peu de boulot (faut bien ramener le mammouth à la maison!), un peu de musique, et un peu de sport, pas pas à pied. Plus précisément :

Roller?

Bon, le brevet et la natation, je connais à peu près, je vais gérer. Mais... le roller... heu... Bon. J'en ai fait un peu en 2008 lors de ma prépa pour le Spartathlon mais depuis, rien ou presque. Je me suis inscrit à ces 24h parce que tout de même, la curiosité me tiraillait. Je me suis dit qu'au pire j'aurai des ampoules mal placées et des courbatures partout mais 24h, je connais, il "suffit" de rajouter la couleur roller.

Rollers & Coquillages
Mes deux grandes filles à la pause, KM 10. Le plein de mikados et ça repart. Au pluriel, on dit mikados, les mikadi c'est pour les snobs.

Je suis retourné récemment à la rando du vendredi, toujours aussi sympa. Il se trouve que les patins, c'est comme le vélo, cela ne s'oublie pas. Cool, je suis de moins en moins mal à l'aise. J'ai acheté une paire avec un chausson de qualité et des roues de 90. C'est pas mal. Et puis, pour ne rien gâcher, j'ai acheté des rollers à mes filles, histoires qu'elles puissent comprendre un peu mieux la fête ce dernier week-end de juin!

Bon, à propos de la course, j'ai découvert la semaine dernière que c'est une véritable USINE. Plusieurs milliers de participants. Plus de dix milles (15 000?) ai-je entendu sans vraiment vouloir y croire. Voyons, un parcours de 4 km, avec 10k pélerins en vadrouille mais répartis sur des équipes, ça fait bien 3000 gaziers sur le terrain, soit presque un coureur par mètre. On ne va pas s'ennuyer, ça va me changer des ultras solitaires où l'on cherche en vain quelqu'un au loin pour se tenir compagnie. Accessoirement, j'ai aussi appris qu'il y a une bosse sur le parcours. La descente au radar à 4h du matin mort de fatigue à côté des relais qui tournent plein pot, je paie pour voir.

Et donc, cet après-midi, j'étais avec mes deux plus grandes filles à la rando Rollers & Coquillages, et disons que tout s'est très bien passé pendant les 5 premiers kilos. Après, c'est-à-dire les 15 qui restaient, fatigue, et difficulté à se concentrer, d'où quelques belles gamelles à la clé (moi compris), mais une franche rigolade, et un très bon souvenir. Non, je ne brutalise pas mes enfants, nous sommes allés nous faire 20 bornes tranquille pépère. Et je pense que cette nuit, elle dorment bien.

Mon secret diététique

Avant
Blanquette hérétique. Sans carottes mais avec champignons et quenelles. Et parce que je n'ai aucune morale, je mélange même des patates dedans. Et toc. C'est mon côté subversif.

Pour ceux qui se demandent ce que manger un mordu de l'ultra distance, la réponse en photo : je mange comme tout le monde. En considérant que tout le monde mange de la blanquette. Voici donc ce que je vais manger cette semaine, qui n'est ni plus et moins que le reste d'un repas trop copieux du week-end.

Après
Et voilà le travail, 4 tickets restaurants économisés. C'est la crise, on vous l'a dit et répété.

La touche du chef : je passe tout à -18 degrés au congélo, ainsi les portions font des blocks qui *ne coulent pas* (je pense ici à la sauce qui s'échappe par les couvercles pas tout à fait hermétiques) sur mes affaires dans mon sac. Pas hyper glamour, mais résolument pratique.

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Mis à jour le lundi 02 juin 2014.